Inspiré par l'Arabie Saoudite, Valls hésite à faire exécuter un jeune sympathisant du FN

Ali Mohammed Al-Nimir risque d'être décapité et crucifié (dans cet ordre) pour avoir participé à une manifestation antigouvernementale lors du Printemps arabe en 2012.

Si Valls a ce matin déclaré sur Twitter "La France est fermement opposée à la peine de mort. Nous appelons à renoncer à l'exécution d'Ali Mohammed Al-Nimir", le concept ne lui a pas semblé manquer d'intérêt. Ce midi, après un repas un peu trop arrosé, le premier ministre s'est soudainement exclamé :

 

"Si l'Arabie Saoudite est un pays des droits de l'homme je ne vois pas pourquoi on ne devrait pas suivre l'exemple. Trouvez-moi un jeune militant du FN et on le forcera à aller une journée à l'école avant de lui couper les burnes et de le cramer avec le drapeau enfoncé dans le cul. Vive les droits de l'Homme et vive la république."

 

Il a, une heure après, fait part de ses regrets quant à sa déclaration mais précise qu'il garde l'idée en tête.

 

"Le premier ministre dévoile enfin son jeu." déclare Sarkozy, une lueur dans le regard et une photo d'un camp rom dans la main droite.

 

A l'Assemblée Nationale, les députés ne semblent pas trouver un accord mais Collard de conclure : "Si encore on pouvait faire ça aux arabes de France ou aux sympathisants du FdG, je comprendrais qu'on veuille tuer des membres de mon parti mais là ce n'est pas très égalitaire."

 

La rédaction.

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