L'UE propose d'exécuter les enfants des réfugiés pour qu'ils se sentent comme chez eux.

Les migrants accostent en grand nombre dans les pays de l'Union Européenne, pour pallier les problèmes économiques engendrés, Bruxelles a déjà mis en place un système de quotas de réfugiés et des aides financières aux accueillants.

Mais qu'en est-il de la situation des réfugiés ?

Notre journaliste d'investigation, Maurice Pinard, est allé en Grèce, où quelques réfugiés Syriens arrivaient avec pour but d'aller ensuite dans un pays développé tel que l'Allemagne.

Là, il a discuté des conditions de vie des réfugiés avec les concernés, de leurs souhaits, et a contacté la commission Européenne qui lui a répondu.

 

Tajar Mozilac, Syrien, a témoigné :

 

"Chez nous, c'est la guerre, chez nous on ne peut pas sortir sans craindre que la route explose, on ne peut pas respirer sans redouter de se faire capturer. Mais c'est tout de même dur de quitter son pays, on le quitte parce qu'on veut un minimum de liberté, pas parce qu'on veut sauver une Union Européenne qui se limite toute seule depuis cinquante ans sous prétexte que le fédéralisme c'est mal mais que c'est le but initial de pays qui se sont associés sans avoir les couilles de relativiser sur leur ego. Nous, les couilles on les a. Les larmes aux yeux aussi. C'est horrible de se dire qu'on vivra mais que rien de ce qui avait pu faire notre quotidien n'existera encore."

 

Maurice nous précise que "le gusse a chialé comme une madeleine puis est retourné attendre le morceau de bois sur lequel ses mioches faisaient la traversée".

 

Bonne nouvelle pour Tajar cependant : l'UE a entendu les cris des réfugiés et les subventions versées aux états accueillant les victimes serviront à "exécuter les enfants des réfugiés pour leur épargner la tristesse d'une nostalgie liée à la perte d'un quotidien rassurant."

 

En conséquence, l'Allemagne, l'un des pays hébergeant le plus de demandeurs d'asile, s'est engagée à mettre en place chaque troisième samedi du mois des exécutions publiques. Maurice a analysé l'idée et ne tarit pas d'éloges sur le sujet :

 

"J'pense que c'est couillu mais qu'ça peut marcher. Tu vois faut pas laisser les gens chialer. La mort c'est un peu leur meilleure pote à ces gens-là, et si y peuvent sortir de chez eux tout en continuant à perdre des mômes c'est pas du crime c'est du respect des traditions. Ce sera un peu comme chez eux mais y pourront même pleurer dans la rue. Ouais, en public !

C'est beau l'ouverture culturelle, pis du coup on va créer des emplois dans les cimetières, ça fait du taf, ça fait diversion pendant qu'on bouge pas une burne pour rapprocher l'autre d'une solution, nan franchement l'UE c't'une belle gosse qu'elle en a dans la caboche. Par contre les autres projets chuis pas sûr qu'y soient géniaux."

 

En effet, ce matin même Angelina Jolie a été nommée pour mener personnellement une opération d'aide en Syrie puis dans les pays d'Afrique les plus touchés par la guerre.

Trump l'a félicitée personnellement avant d'ajouter "Je ne suis pas certain qu'adopter tous les réfugiés fonctionne mais elle semble déterminée."

 

La rédaction.

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