Triste : Trump doit se branler tout seul parce qu'I̶v̶a̶n̶ Melania déteste ses capotes "goût bite de Trump"

Le président des Etats Unis d'Amérique a partagé sa détresse dans une série de tweets postés autour de 2h la nuit dernière, dans lesquels il révèle qu'I̶v̶a̶n̶  Melania refuse de coucher avec lui depuis qu'il utilise des capotes qui ont le même goût que sa bite. Dans l'un de ces tweets, le président a ajouté un lien vers une vidéo bouleversante de lui-même, en larmes, suppliant I̶v̶a̶n̶  Melania de l'aider à se sentir "great again" pendant qu'il tente d'enlever le foutre séché de sa chemise.

 

I̶v̶a̶n̶  Melania, qui n'a pas dit un mot sur Twitter, a confessé aux journalistes que "Le pénis de Trump a le même goût que la raison pour laquelle personne n'aime la Bosnie," une déclaration choquante qui a suscité l'indignation du gouvernement bosniaque. Le premier ministre Novalic a exigé des excuses publiques.

I̶v̶a̶n̶  Melania a également avoué qu'elle et Trump avaient cessé de coucher ensemble "à la seconde même" où elle s'ést rendue compte que les mômes de Trump étaient "moches comme des culs", ce qui implique qu'elle aurait eu recours à d'autres méthodes pour accoucher de Baron : "Ca peut pas être le sien, il parle plusieurs langues."

 

La vie est moche pour Donald Trump, trop triste ou terrifié pour oser attraper I̶v̶a̶n̶  Melania "par la chatte."

"Je ne comprends pas," a déclaré le président, "ces capotes, c'est tout ce qui fait la famille Trump : elles sont pas hyper grandes, elles sont crades, elles servent pas à grand chose et elles sont rigolotes à regarder." Les capotes goût bite de Trump sont pourtant l'un des produits préférés des Trumporters, comme l'explique Josh, qui vient de Denver dans le Colorado : "L'idée c'est que quand j'les porte, je deviens un mâle alpha bien crade avec sept centimètres de virilité dont je peux être fier. Ma cousine adore."

 

Pour finir sur une note plus gaie, Paul Ryan aurait obtenu un nouvel emploi et serait chargé de noter chaque éjaculation du président sur 10.

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