Hétérophobie ? Cet homme n'a pas été accepté par la LGBTQ+ alors qu'il a un gros fantasme sur les pieds

 

Plainpied-Givaudins - c'est une sale journée pour la tolérance qui commence dans cette petite commune du Cher. En effet, malgré des années de lutte pour la tolérance des personnes trans et/ou homosexuelles, la LGBTQ+ a refusé d'intégrer Arnaud, 25 ans, dans ses rangs malgré sa différence.

 

Le jeune homme, eöployé dans une banque locale, n'est ni homosexuel ni trans ni intersexe mais il est "hétéro avec un kink un peu stigmatisant des fois," et il pensait que cela ferait de lui une recrue idéale pour la LGBT de Bourges.

 

"Ils m'ont dit qu'un kink c'était pas du tout comme être gay ou trans et qu'un kink c'était pas quelque chose qui affectait la vie de tous les jours. Ok je me suis jamais fait tabasser dans la rue parce que j'aime me branler en regardant des pieds de jeunes femmes, mais quand même. Quand je raconte à mes amis que je fais dégorger le poireau sur du feet fetish ben ils me regardent bizarrement et je trouve que je suis assez stigmatisé."

 

Le centre LGBTQ+ de Bourges a du répondre à quelques journqlistes et a expliqué que "pour les kinks, il y a d'autres associations, mais la LGBTQ+ ce n'est pas une histoire de cul. Tout le monde peut avoir un kink mais nous ne somme pas une association qui s'occupe de la manière dont les gens se masturbent, nous sommes une organisation qui aide des gens avec de vraies difficultés et qui sont mises à l'écart non pas pour leur historique PornHub mais pour leur apparence et leur volonté d'avoir le droit d'être ce qu'elles sont et d'aimer qui elles veulent. Rien dans la société n'empêche Arnaud d'être hétéro, rien ne lui tombe sur le coin de la figure quand il explique un simple kink. Il n'y a aucune conséquence sur sa vie professionnelle, sur sa sécurité sociale, son droit à avoir des enfants."

 

SOS hétérophobie a annoncé qu'une plainte serait bientôt déposée.

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